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Sound in Structure: Applying Spectromorphological Concepts

John Young

Article

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Abstract

This paper departs from critical discussion of the concepts and terminology used by Denis Smalley to outline the ‘spectromorphological’ approach to the listening process. It then seeks to elaborate and apply salient aspects of the descriptive language of spectromorphology through analysis of electroacoustic works.

Smalley’s work sets out a descriptive terminology for sounds that is highly appropriate to the complex materials found in electroacoustic music. This paper will suggest ways in which the acoustical and behavioural aspects of sound can be linked to a set of perceptually-defined organisational archetypes which in turn may be reflected in the form-bearing elements of electroacoustic music.

The malleability of materials under electroacoustic technology means that the concept of a continuum is an appropriate archetype for describing the fluid way in which extremes of sonic design and identity can be connected at a fundamental level. Analytical examples will be drawn largely from two works: Smalley’s Base Metals (2000) and Mario Mary’s Haulie (2002).

Résumé

Son des structures : Application des notions spectromorphologiques

Cet exposé déroge des discussions critiques à l’égard des concepts et du vocabulaire utilisés par Denis Smalley pour décrire l’approche « spectromorphologique » du processus d’écoute. Il cherche ensuite à développer et à appliquer les aspects marquants du langage de description de la spectromorphologie par l’analyse d’œuvres électroacoustiques. ?Les travaux de Smalley établissent une terminologie descriptive des sons qui se prête très bien aux éléments complexes de la musique électroacoustique. Notre exposé abordera les façons dont les aspects acoustiques et comportementaux des sons peuvent être liés à un ensemble de modèles organisationnels définis par la perception ce qui, à son tour, peut se refléter dans les sons porteurs de sens dans la musique électroacoustique. La malléabilité des matières en technologie électroacoustique signifie que la notion de continuum est un archétype approprié pour décrire la manière fluide dont les extrêmes de conception et d’identité sonores peuvent se recouper à un niveau fondamental. La plupart des exemples analytiques seront tirés de deux œuvres : Base Metals (2000) de Smalley et Haulie (2002) de Mario Mary.